ultimas palabras.

porte moi.

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Et j'ai commencé à écrire cet été. Après ma chute. Quand j'ai failli mourir. Il faut être honnête. Tu étais encore dans mon corps, et surtout dans ce coeur complètement déglingé. Mais j'étais pas consciente.  Ils diront sûrement ça. C'est drôle de penser à toi ce soir. C'est drôle de penser à toi tout court parfois. Aux aller retour, et surtout aux aller sans retour. Moi c'était trop, comme toujours, et toi pas assez, évidemment. A trop jouer, on finit par perdre du temps. C'est pas triste, c'est juste la vie.

Je suis venue te dire que je m'en vais.

Et tes sanglots longs n'y pourront rien changer.

Mais je me trompe.Ce n'était pas de la vaillance, c'était de la connerie: parcque je croyais qu'elle reviendrait. J'y croyais vraiment.

su pena.

Tu vas regretter.

Epouse moi au mois de juin.

Ce que j'aime,
c'est cet être meilleur que tu fais de nous.

e vincere.

 

Tes yeux couleurs marine, la chaleur de tes lèvres.

Bang bang.